
Chaque fois que j'ouvre les yeux, le matin et que je ne trouve pas ton doux visage, devant moi...ce petit minois, tantôt câlin, tantôt boudeur et surtout angélique...je m'aperçois que tout est sombre...une longue nuit qui ne se termine jamais...
L'image de ta petite frimousse, câline et sympathique adoucissait le plus dur des réveils...tu m'arrachais le sourire...je souriais parce que tu étais là à me regarder intensément...parce que tu avais des expressions sur le visage et dans les yeux, à lesquelles je ne pouvais résister...tu n'es plus là...je ne souris plus...j'aimais la vie car tu y étais...maintenant, je la déteste...
Ce printemps que j'aimais tant...que tu aimais autant...ce printemps qui t'a emportée pour ne plus te ramener...je le hais...
Je suis si fatiguée d'être là, pendant que tu es ailleurs...tu es partie sans même me prévenir que tu resterais si peu auprès de moi...cette blessure qui ne guérit pas...cette douleur si réelle et vive...c'est beaucoup trop, pour que le temps puisse l'effacer!
Tu es présente en moi...autour de moi, ma belle fleur!
Je voudrais tellement, que tu ne sois pas partie si loin, je n'ai pas cessé de penser à toi!
Mon ange survole moi, fais moi sentir que tu m'aimes, toujours, que tu ne m'as pas oubliée...
Je t'aime mon petit papillon, mon bébé...
Ta maman si malheureuse sans toi